JP Galland passe au JT de 13h demain sur F2

par **Anonymous** » 01 Fév 2005, 20:30

Il intervient aussi à partir de ce soir et demain sur France Info dans un flash.

par **Anonymous** » 01 Fév 2005, 20:42

ting! je serais pas a casa demain....
Y aurait-il une âme charitable capable de l' enregistrer??????
et si en plus l' âme charitable pouvait le basculer dans un format "djeuns"
ce serait tip top :wink:

merci

par **Anonymous** » 01 Fév 2005, 21:32

je recoit la tv sur pc via une carte satellites si tu veut trinita je peut l'enregistré
dit moi juste l'heure precise et je vous fait ca

par **Anonymous** » 01 Fév 2005, 22:40

je crois que c'est demain a 13H sur france 2....
se serai cool de ta part.....
merci a plus....
seb

par **Anonymous** » 02 Fév 2005, 07:54

C'est parti...

Une campagne contre
le cannabis

NOUVELOBS.COM | 02.02.05 | 07:31

Philippe Douste-Blazy présente une campagne sur le cannabis qui tentera de convaincre les jeunes qu'en fumer peut avoir des conséquences néfastes.

L e ministre de la Santé Philippe Douste-Blazy devait présenter mercredi 2 février à la presse une campagne contre le cannabis qui débutera la semaine prochaine.
Cette campagne de six films, huit spots radio et des encarts pour la presse écrite tentera de convaincre les jeunes Français, gros consommateurs de haschisch, qu'en fumer peut avoir des conséquences néfastes sur leur vie. La campagne a été confiée par l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes) à l'agence parisienne Leg. Selon un de ses concepteurs, l'idée est d'"informer sans diaboliser", et de dénoncer non "la consommation de cannabis" en général, mais son "usage problématique" par une frange des fumeurs.

"Bad trip"

Les messages concernent exclusivement les conséquences sanitaires et sociales de l'usage de cannabis. Le ministère de l'Intérieur et la mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt) préparent cependant une autre campagne, prévue fin 2005 ou début 2006, sur "l'aspect répressif, avec un rappel de l'interdit et des sanctions encourues, et un volet sur l'économie souterraine" générée par le trafic, selon des sources ministérielles. Publicité

Les films diffusés à partir du 8 février, opposent à l'imagerie positive qu'ont la plupart des jeunes du cannabis, des témoignages, dits par des comédiens mais qui sont "réels", assure un concepteur de la campagne.
A la conviction qu'"Avec le cannabis, on se sent super bien", un acteur oppose, face à la caméra, une expérience de "bad trip", racontant nausées et idées noires. Les difficultés d'apprentissage et l'échec scolaire sont narrés dans deux spots, répondant à l'assertion selon laquelle "Avec le cannabis, on comprend tout".
Deux autres témoignages contredisent l'idée qu'"Avec le cannabis, on se fait plein d'amis", tandis qu'un sixième traite de la dépendance en s'inscrivant en faux contre l'affirmation selon laquelle "Le cannabis, c'est pas vraiment une drogue".

Thèmes absents

La volonté de ne pas diaboliser explique aussi l'absence de certains thèmes comme le cancer ou la schizophrénie: "Pour des jeunes, cela reste abstrait, lointain. Il fallait rester dans le concret, dans des expériences qui leur parlent", explique cette source.
Autre sujet absent, le cannabis au volant.
Les spots radio et télé, comme les encarts de presse écrite, renvoient à un numéro (0 811 91 20 20). Les animateurs qui répondront disposent d'une liste des 250 centres où les consommateurs de cannabis peuvent recevoir soins et conseils.
Parallèlement, des brochures ont été éditées: l'une à destination des parents, l'autre des jeunes, tandis qu'un "Guide à l'arrêt", inspiré d'une expérience australienne, a été préparé pour les professionnels.

par **Anonymous** » 02 Fév 2005, 07:54

Première campagne de prévention du cannabis chez les jeunes

mardi 01 février 2005 (Reuters - 18:16)

PARIS - La France présente mercredi sa première campagne de prévention contre le cannabis afin d'informer les jeunes des conséquences néfastes du haschisch sur la santé.

"L'idée n'est pas de diaboliser le cannabis, mais d'informer les jeunes des conséquences, surtout sur la santé", a-t-on indiqué mardi au ministère de la Santé.

Le mois dernier, le ministre de la Santé Philippe Douste-Blazy a déploré que cannabis soit traité "sous le prisme unique de la police et de la justice" et a promis d'aborder le sujet sur le plan médical.

Il présentera la campagne d'information, qui débute la semaine prochaine, avec le président de la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie, Didier Jayle, et le directeur général de l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé, Philippe Lamoureux.

Cette campagne se déclinera sous forme d'encarts dans la presse écrite, de spots radio et de films dans lesquels des personnages racontent leur mauvaise expérience ou tordent le cou aux idées reçues sur le cannabis.

Malgré l'une des législations les plus répressives d'Europe, le nombre des jeunes Français qui essaient ou fument régulièrement du cannabis ne cesse d'augmenter depuis dix ans.

Selon une enquête publiée l'an dernier par l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies et l'Inserm, la France est le pays où la consommation est la plus importante chez les jeunes de 16 ans à 18 ans.

Différentes études ont montré que les adolescents banalisent de plus en plus la consommation de cannabis et fument leur premier "joint" à 15 ans. A la fin de l'adolescence, environ la moitié des jeunes déclarent y avoir goûté au moins une fois.

Autre fait marquant: le "shit" chez les adolescents se situe désormais au même niveau que l'alcool. Selon les experts, le choix de fumer du cannabis "reste rarement anodin, qu'il soit culturel ou lié aux vertus psychoactives" du produit.

L'aspect transgressif semble moins important qu'il y a quelques années, les adolescents disant fumer "parfois pour faire la fête, parfois pour se détendre ou pour gérer le stress".

par **Anonymous** » 02 Fév 2005, 07:55

Une campagne pour convaincre les jeunes que le cannabis n'est pas leur ami

agrandir la photo

PARIS (AFP) - Une campagne sur le cannabis, qui débute la semaine prochaine, tentera de convaincre les jeunes Français, gros consommateurs de haschisch, qu'en fumer peut avoir des conséquences néfastes sur leur vie, selon ses concepteurs.

Le ministre de la Santé Philippe Douste-Blazy doit présenter mercredi à la presse six films, huit spots radio et des encarts pour la presse écrite, autour desquels s'articulera la campagne, confiée par l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes) à l'agence parisienne Leg.

Selon un de ses concepteurs, l'idée est d'"informer sans diaboliser", et de dénoncer non "la consommation de cannabis" en général, mais son "usage problématique" par une frange des fumeurs.

Cette notion, défendue par les professionnels, a longtemps été combattue par les pouvoirs publics car, selon un médecin, "elle suppose implicitement qu'il peut y avoir un usage non problématique".

"Je ne sais pas si elle sera réussie, mais cette campagne s'est donné les moyens de sortir du débat idéologique dans lequel est enfermé le cannabis en France", se félicite le psychiatre Jean-Michel Delille, qui anime un service spécialisé à Bordeaux et a été consulté lors de la préparation de la campagne.

Les messages concernent exclusivement les conséquences sanitaires et sociales de l'usage de cannabis. Le ministère de l'Intérieur et la mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt) préparent cependant une autre campagne, prévue fin 2005 ou début 2006, sur "l'aspect répressif, avec un rappel de l'interdit et des sanctions encourues, et un volet sur l'économie souterraine" générée par le trafic, selon des sources ministérielles.

Les films diffusés à partir du 8 février, opposent à l'imagerie positive qu'ont la plupart des jeunes du cannabis, des témoignages, dits par des comédiens mais qui sont "réels", assure un concepteur de la campagne.

A la conviction qu'"Avec le cannabis, on se sent super bien", un acteur oppose, face à la caméra, une expérience de "bad trip", racontant nausées et idées noires. Les difficultés d'apprentissage et l'échec scolaire sont narrés dans deux spots, répondant à l'assertion selon laquelle "Avec le cannabis, on comprend tout".

Deux autres témoignages contredisent l'idée qu'"Avec le cannabis, on se fait plein d'amis", tandis qu'un sixième traite de la dépendance en s'inscrivant en faux contre l'affirmation selon laquelle "Le cannabis, c'est pas vraiment une drogue".

"C'est une campagne difficile, avec la nécessité d'éviter d'un côté l'écueil de la +dramatisation+, et de l'autre celui du +Fumer, c'est pas grave+", explique un concepteur de la campagne pour justifier la fadeur du slogan générique ("Le cannabis, c'est une réalité").

La volonté de ne pas diaboliser explique aussi l'absence de certains thèmes comme le cancer ou la schizophrénie: "Pour des jeunes, cela reste abstrait, lointain. Il fallait rester dans le concret, dans des expériences qui leur parlent", explique cette source.

Autre sujet absent, le cannabis au volant. C'est pourtant "le risque n°1 pour les jeunes", regrette le Dr Delille.

Les spots radio et télé, comme les encarts de presse écrite, renvoient à un numéro (0 811 91 20 20). Les animateurs qui répondront disposent d'une liste des 250 centres où les consommateurs de cannabis peuvent recevoir soins et conseils.

Parallèlement, des brochures ont été éditées: l'une à destination des parents, l'autre des jeunes, tandis qu'un "Guide à l'arrêt", inspiré d'une expérience australienne, a été préparé pour les professionnels.

par **Anonymous** » 02 Fév 2005, 07:56

L'Est républicain

Cannabis : des images plutôt qu'un discours

La campagne d'information présentée aujourd'hui est déclinée en six films huit spots radio et des encarts dans la presse.

Les jeunes Français figurent parmi les plus gros fumeurs de cannabis d'Europe. Leur consommation reste massive, puisque deux garçons sur trois de 17-18 ans y ont déjà goûté et plus d'une fille sur deux. Un quart des garçons de 14-15 ans a déjà expérimenté ce produit et un sixième des filles. Après le discours répresssif de Nicolas Sarkozy, qui n'a donné aucun résultat probant, le gouvernement a décidé de s'attaquer au problème par un autre biais, celui d'une campagne qui, selon l'un de ses concepteurs, « informe sans diaboliser » et surtout vise « l'usage problématique » du cannabis par une frange des fumeurs. Mais n'évoque pas la question du cannabis au volant, pourtant « le risque nème1 pour les jeunes », estime le Dr Delille, qui a participé à l'élaboration de la campagne.

« Nous sortons des discours idéologiques », se félicite Michel Reynaud, psychiatre qui anime des consultations pour adolescents à l'hôpital Paul-Brousse de Villejuif, qui constate aussi que si l'« on a une idée claire des conséquences sanitaires du cannabis, il n'y a en revanche aucune lisibilité sur la réponse sociale et répressive à la consommation qui reste illégale et au trafic, petit ou grand ». Pour l'heure, en effet, les pouvoirs publics n'entendent pas modifier la loi de 1970 qui réprime l'usage de stupéfiants. Le ministère de l'Intérieur doit lancer à la fin de l'année une autre campagne qui insistera sur la répression, « avec un rappel de l'interdit et des sanctions encourues ».

Contre les idées reçues

Celle qui démarre demain a pour but de casser un certain nombre d'idées reçues. Les messages concernent uniquement les conséquences sanitaires et sociales de l'usage du cannabis. Par exemple, aux convictions « Avec le cannabis, on se sent super » ou « on comprend tout », des intervenants raconteront leur « bad trip », leur mauvais voyage ou leurs difficultés scolaires. Tous les messages renvoient au 0811.91.20.20. Les animateurs qui répondront disposent d'une liste de centres où les fumeurs de cannabis pourront recevoir soins et de conseils.

Avec sept millions de fumeurs occasionnels, 450.000 consommateurs quotidiens et 60.000 jeunes dépendants, la France est avec la Grande-Bretagne, la République Tchèque et l'Irlande l'un des pays à la consommation la plus forte, même si sa progression semble interrompue dans les deux premiers. Cette consommation génère un trafic et le développement d'une économie souterraine. les 17-18 ans dépenseraient ainsi entre 12 et 21 millions d'euros pour le haschisch. Loin cependant des sommes déboursées pour l'alcool (de 26 à 42 millions d'euros) et pour le tabac (de 35 à 53 M€).

P.P.

par **Anonymous** » 02 Fév 2005, 07:56

Sur le cannabis, "on sort des discours idéologiques", selon le Pr Reynaud
AFP | 01.02.05 | 13h38

Le psychiatre Michel Reynaud, qui anime des consultations pour adolescents à l'hôpital Paul-Brousse de Villejuif (Val-de-Marne), juge que la campagne sur le cannabis qui débute le 8 février parvient à sortir "des discours idéologiques".QUESTION: La campagne sur le cannabis vous semble-t-elle réussie? REPONSE: "Elle me paraît honnête. Il fallait une campagne comme ça, qui ne diabolise pas mais ne banalise pas. C'est contre-productif de dire à des jeunes que le cannabis conduit forcément à la catastrophe et au suicide, quand ils côtoient plein de gens qui fument et vont bien. En revanche, faire en sorte qu'ils se rappellent un copain qui a décroché à l'école, qui s'est coupé de ses amis ou qui a arrêté le sport, est utile.On sort des discours idéologiques sur le cannabis. Il y a deux ans, on n'arrivait pas à faire passer l'idée qu'il pouvait y avoir danger. Ensuite, dans le sillage du ministre de l'Intérieur de l'époque (Nicolas Sarkozy), on a basculé dans une angoisse sécuritaire focalisée sur le cannabis". Q: Le gouvernement a décidé de ne pas changer la loi de 1970 qui réprime l'usage de stupéfiant. Qu'en pensez-vous? R: "On a une idée claire des conséquences sanitaires du cannabis. Il n'y a en revanche aucune lisibilité sur la réponse sociale et répressive à la consommation, qui reste illégale, et au trafic, petit ou grand. Est-ce qu'on doit pénaliser et comment? Est-ce qu'on doit lutter à mort pour qu'il n'y ait plus de cannabis? Un jour ou l'autre, la société devra se poser la question de l'attitude qu'elle souhaite adopter sur cette drogue". Q: Avez-vous constaté une augmentation des problèmes sanitaires chez les jeunes? R: "Considérable. Au-delà des conséquences aiguës (accidents de la circulation, états délirants, d'angoisse ou de panique), les manifestations problématiques ont augmenté au rythme de la consommation. Environ 10% des fumeurs rencontrent des problèmes: troubles de la concentration, de la mémoire, apathie, perte des intérêts scolaires, relationnels ou sportifs. Les jeunes sont particulièrement vulnérables car la drogue intervient sur des parties du cerveau en pleine maturation, qui interviennent dans le contrôle des impulsions et l'analyse des actes.Enfin, les complications, auparavant mises sur le compte de l'adolescence ou d'une dépression atypique, sont désormais connues, donc on les retrouve".

par **Anonymous** » 02 Fév 2005, 11:20

FARAMINEUX!!!
Les dangers du cana:
1)vague Bad Trip
2)echec scolaire (duquel les parents sont évidemment dissociés)
3)se faire plein de "faux" potes
4)c'est une drogue (ça c'est de l'argument)

On ne parle pas schizo ou cancer (encors heureux vu l'inconsistanse du contenu scientifique des études menées)....

Moi le cana ça m'grossit le kiki

par **Anonymous** » 02 Fév 2005, 14:39

voila l'enregistrement est finie
il fait 1.5 giga en mpeg je vais le coupé et le transformer en .mkv

d'ici 1 h ou 2 je file l'url

par **Anonymous** » 02 Fév 2005, 15:20

voila l'encodage est terminé

il est au format .mkv (matroska) HAUTE QUALITE 528+384 son : OGG vorbis
assuré vous d'avoir les bons codec
le mkv se lit avec windows media player(derniere version) ,bsplayer etc ...

le fichiers fait 39 mo
cliquez ici

si vous avez deja les codec installer cliquez direcctement dessus ca va lse lancer automatiquement
sinon faite clique droit puis "enregistré sous"

l'enregistrement contient le reportage + le debat

par **Anonymous** » 02 Fév 2005, 15:54

prix de la campagne: 10.000.000 € ...... :roll:

http://www.lexpress.fr/info/infojour/in ... id=1506974

par **Anonymous** » 02 Fév 2005, 17:24

Un grand merci à Don Elias !!!

par **jack1** » 02 Fév 2005, 17:30

Vé voir aussi, merci