Ne pas perdre de vue cette histoire de dose létale : Celle de l'alcool se situe vers les 6g/L de sang. Tous les produits dits ou non toxiques ont une dose létale connue, sauf le canna. Aucune mort clinique n'a jamais pu et ne pourra jamais être imputable au cannabis. Aucune overdose de canna recensée, aucun suicide au canna non plus.
Et si légiste totalement anti-cana qui bidonnerait un rapport, l'avocat le plus niais trouverait le rapport INSERM et le jetterait dans un effet de manche salvateur.
Le débat se situerait donc sur le canna a été déclancheur ou pas ? D'un point de vue strictement médical, le canna n'occasionne que des troubles du rythme et de façon transitoire. Les troubles du rythme sont assez variés, mais le seul mortel est le "flutter" (400 pulsations minutes), les autres sont ralentissement (bradycardie), sacades et/ou emballements (tachycardies), et anomalies du floupa-pssshttt (le ventricule qui attaque avant l'oreillette, ou un des deux qui fait deux cycles, bref je m'égarre).
A noter que ceci vient d'une altération dans l'émission des catécholamines (adrénaline, noradrénaline, dopamine... je cite tout ça de mémoire de fumeur, appris y a 15 ans).
Les herbes sativas récoltées jeunes peuvent être très tachycardiques !
Les indicas récoltées bien mures, entrainent plutôt des baisses de tensions (J'ignore le mécanisme, mais ça doit être encore les catécho qui merdoient) et des hypoglycémies invalidisantes.
Pour en revenir à nos fiers à bras qui ne fument que pur, ou au anciens, bien comprendre que ressentant des effets physiques désagréables, ils partent immédiatement en sucette, dans une crise d'angoisse sur fond de "Merde, je me suis drogué, ça y est je vais mourir", qui n'arrange rien à leur malaise physique.
Une overdose massive de canna chez un bleu-bite se traduira par de belles séances de fox dans les chiottes, et une belle diarhée le lendemain. Les plus pales et plus faibles, seront traités avec des susucres, les plus stressés sur leur mort droguéééééééééééé éminente avec un Lysanxia, deux baffes et au lit, afin que la soirée des autres ne soit pas gaché connement, par la non-étanchéité des renards bleus aux dents qui poussent
