Idem. Il faut rester dans le champ de la liberté individuelle. Ce n’est pas en tapant sur la toxicité d’autres adjuvants (ne pas taper ne veut pas dire ne pas informer) qu’on fera avancer la cause.
J’ajouterais un suivi psychologique (qui peut prendre différentes formes) pour les produits plus « durs » mais je pense que la criminalisation de l’usager de drogues va à l’encontre de cette liberté individuelle tant chantée dans nos bonnes sociétés… Education – Information – Responsabilisation.