les médicaments, pourtant souvent responsables d'endormissement au volant, avaient été écartés de l'étude à la suite du lobbying intense des laboratoires.
C'est peut-être ça l'information la plus choquante de cet article. Dommage que les pouvoirs publics se soient délibérément privés des moyens de connaître la part des accidents de la route liée à la consommation de médicaments.