Cannabis et dependance

La section prévention est là pour parler des aspects sanitaires du cannabis, mais aussi de vos problèmes vis à vis du cannabis. Mais attention, nous ne sommes pas médecins...

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Cannabis et dependance

Messagepar Anonymous » 15 Mai 2004, 22:44

Salut
Je fume des joints depuis environ 7 ans a raison de au moins un par jour mais en moyenne c'est plutot 3 ou 4. Je profite donc d'un stage en Angleterre pour faire une pause et ainsi me rendre compte des changements sur mon organisme lorsque celui-ci n'est pas en prise a la marijuana.
Mes constatations sont que:
-les 10 premiers jours mes nuits furent mauvaises. J'entends par cela que je ne dormait que 5h par nuit en me reveillant pendant 1 ou 2 heures aux allentours de 4 h du matin. Alors que je suis d'habitude plutot un bon dormeur (environ 10 h ou plus par nuit). Et je transpirais beaucoup pendant la nuit.
- Ensuite mes nuits redevenurent normales
-Cependant pendant cette periode je n'ai a aucun moment eu envie de fumer un pet
-Au bout d'un mois je commence a penser de plus en plus souvent au cannabis sans que l'on puisse dire que je suis en manque
Cela fait maintenant un mois que je n'ai pas fume de joint.
En meme temps j'ai voulu arreter la cigarette, j'ai tenu 5 jours sans fumer!!!
Mes questions sont
Combien de temps le cannabis est present dans le corps et dans quelles parties?
Avez vous deja ressentis des faits similaires?
Anonymous
 

Cannabis et dependance

Messagepar Anonymous » 15 Mai 2004, 23:31

salut rio,

je pense que ce qui rend physiquement accroc au joint, c'est le tabac que l'on met dedans,.....;physiquement......

pour ce qui est de la dépendance psychologique...c'est autre chose....là, je citerai un grand homme dont je tairai le nom plus par oubli que par souci de préserver mes sources.... :ptdr: ...

définition de la drogue:" rencontre entre un produit et un individu dans un contexte social précis..."

hé hé hé...évidemment, de ce genre de phrases, on fait un peu ce qu'on veut....
personnelement, j'interprète ça comme suit....

le cannabis procure tout une série d'effets (qu'il n'est pas nécessaire de te rappeler...tu te souviens comme c'est bon?... :twisted: ...)...ces effets répondent à des envies, des besoins, voir des carences chez les personnes qui le consomment...
si tu ne peux gérer ta vie psycho-émotionnelle sans fumer un joint, alors, on peut parler ( à mon sens...) de dépendance psychologique....

je sais de quoi je parle...c'est mon cas... :oops: ...je suis un garçon charmant (hé hé...), en tout cas tant que j'ai dequoi mettre quelque chose avec mon tabac... :mrgreen:

autrement...vaut mieux pas aller à contre-poil...

....voilà, mais vu d'ici...après un mois d'abstinence, t'as pas l'air de bouffer ton clavier...t'as même plutôt l'air posé.... :wink: ....je crois que tu n'es pas dans la même catégorie...
quant à ton envie, ou plutôt, le fait que tu y penses de plus en plus souvent, c'est un peu comme la montagne ou la mer...enfin, heu...là ou tu vas en vacances quoi...quand ça fait longtemps, tu y penses de plus en plus...ça ne fait pas de toi un "tox.""... :lol:

allez, j'espère t'avoir aidé...a+






hé hé ....ton prochain pétard, il va te défoncer la tronche, mon ami.....un mois!....pffiouuuu!....dingue!
Anonymous
 

Re: Cannabis et dependance

Messagepar Anonymous » 15 Mai 2004, 23:37

Salut Kiki
Tout a fait d'accord avec toi pour ce qui est de ta comparaison avec la mer et la montagne. Dans ma vie je ne fait pas que de fumer des pets, je fait aussi du kitesurf (=planche tractee par un cerf-volant pour les ignorants) et bien en ce moment je ne peut en faire et ca me demange encore plus que de ne pas fumer.
Anonymous
 

Cannabis et dependance

Messagepar Anonymous » 16 Mai 2004, 12:18

Quand je fais des périodes d'abstinence ( en temps normal je fume le soir un ou deux pets ) , j'ai aussi du mal à trouver le sommeil le premier soir mais une fois endormi pas de problème. Ce qui est curieux c'est que quand je ne fume pas, je me rappelle de mes rêves alors que c'est plutôt rare quand je fume. Sinon pas d'autre effet secondaire au sevrage si ce n'est que j'ai l'impression d'avoir mieux dormi si je n'ai pas fumé.
Si je refume après quelques jours d'abstinence, l'effet est démentiel ce qui me pousse à penser qu'une grosse partie du Kna présent dans l'organisme est très rapidement évacué même si il reste décelable pendant plus d'un mois ( plusieurs mois ?? )
Concernant la dépendance psychologique je pense que ça dépend très fortement du pourquoi tu fumes et dans quelles circonstances. Comme je ne fume que le soir il ne s'agit en aucun cas d'une compensation à une situation stressante donc le manque n'existe pas chez moi. Je pensais d'ailleurs que c'était universel mais il semblerait que certaines personnes ressentent un manque psychologique réel en cas de sevrage. Une personne n'est pas l'autre et , même si le Kna est sans doute la drogue la moins addictive, cela ne signifie pas qu'elle soit anodine pour autant. A chacun de voir les choses en face à ce niveau là c'est la raison pour laquelle je fais régulièrement des périodes sans Kna, histoire de faire le point sur la question :wink:
Dernière édition par Anonymous le 16 Mai 2004, 12:35, édité 1 fois.
Anonymous
 

Cannabis et dependance

Messagepar Anonymous » 16 Mai 2004, 12:38

Chaque soir, j'attendais d'avoir passé les effets "franc" du dernier joint fumé avant d'aller me coucher.


Je fais exactement la même chose et j'en arrive aux mêmes conclusions. Mieux vaut ne pas s'endormir juste après avoir fumé sous peine d'être assez fatigué le lendemain.
Anonymous
 

Re: Cannabis et dependance

Messagepar Anonymous » 16 Mai 2004, 21:27

Et toi Thrand, t'aurais pas un lien pour le dico ( putain, je raccole :ptdr: )
Anonymous
 

Re: Cannabis et dependance

Messagepar Anonymous » 16 Mai 2004, 22:12

Ma demande de lien non plus :wink:
C'est juste sur un autre post; on fait une anthologie, alors tout est bon. Moi j'ai trouvé l'info sur la disparition du THC, intéressante. Surtout quand on sait que la police va faire du dépistage de conduite sous stupéfiants.
Dans le sang, ça part plus vite? Ben, justement ils prévoient de faire des prises de sang pour juger de la conduite sous effet cannabique ou non.
Voilà , voilà :coucou:
Anonymous
 

Re: Cannabis et dependance

Messagepar Anonymous » 26 Mai 2004, 10:20

3.1.2.2. Effets chroniques : le syndrome amotivationnel

Le syndrome amotivationnel a été décrit par MCGLOTHIN et WEST en 1968 [86] et associe apragmatisme, apathie, perte de la capacité de projection dans l'avenir (perte de l'élan vital, à rapprocher de l'athymhormie schizophrénique), désintérêt, émoussement des affects, manque d'ambition, diminution de l'efficience intellectuelle, intolérance aux frustrations. Le champ relationnel et les capacités de communication se réduisent.

Les difficultés se manifestent souvent initialement dans le domaine scolaire ou professionnel. Le risque à long terme est celui d'une désinsertion sociale progressive du consommateur chronique de cannabis. La drogue envahit alors tout le champ de la vie psychique du sujet, et c'est dans ce cas que se trouvent les 5 à 10% de consommateurs de cannabis que l'on peut qualifier de toxicomanes.

On le rencontre essentiellement dans les cas de consommation de grandes quantités de cannabis, durant un temps prolongé. Il s'améliore à l'arrêt de l'intoxication.

L'existence de cette entité clinique reste contestée. S'agit-il des conséquences physiques de l'intoxication ? Le cannabis serait-il seulement le révélateur d'un état préexistant ?

Aux symptômes cardinaux décrits plus haut s'associent des troubles mnésiques et de concentration [56, 127]. La consommation chronique de cannabis entraîne effectivement un déficit de la mémoire à court terme, qui persiste après arrêt de l'intoxication. Il atteint également la mémoire de travail et les capacités attentionnelles [42]. Jusqu'à présent, peu d'études valables sur le plan méthodologique ont examiné les effets cognitifs du cannabis. Les difficultés méthodologiques et éthiques sont nombreuses : il apparaît difficile d'administrer à des volontaires sains une substance illicite, quant aux consommateurs chroniques, ils amènent avec eux un grand nombre de variables confondantes, notamment l'existence d'une consommation associée d'autres drogues (alcool en particulier) et d'antécédents neurologiques ou psychopathologiques. Par ailleurs, la forte lipophilie du cannabis rend inopérante toute tentative de corrélation entre taux plasmatique et taux cérébral [35].

Le déficit mnésique apparaît dose-dépendant, comme celui dû à l'alcool. L'importance de son évaluation est majeure, tant sur le plan théorique que pratique, notamment si l'on tient compte de l'importance de la consommation de cannabis chez les sujets jeunes [33].

D'autres études [76] complètent la description des troubles cognitifs en démontrant l'existence chez les fumeurs chroniques de cannabis, de difficultés à établir un compromis, à élaborer un jugement, et un affaiblissement des capacités de verbalisation et de communication.

L'étude de TENNANT et coll., [130], a porté en 1972 sur 36000 soldats, suivis sur trois ans. Elle fait état de 720 fumeurs de cannabis, dont 110 consommaient 50g de haschich par mois. C'est pour des doses de 50 à 600g de haschich par mois qu'apparaissent des troubles chroniques rassemblés sous le terme de syndrome amotivationnel et décrits comme apathie, léthargie, troubles du jugement, de la mémoire et de la concentration. L'auteur souligne le caractère réversible du tableau clinique à l'arrêt de l'intoxication. Cette étude a été, depuis sa publication critiquée par d'autres auteurs [98], qui affirment que ces observations, même si elles sont intéressantes, ne découlent pas d'une méthodologie rigoureuse, et ne peuvent être considérées que comme des éléments spéculatifs.

Certaines études par contre, et notamment celle de PAES [105], qui examine 3620 cas en 21 ans, ne décrivent pas de syndrome amotivationnel. NEGRETE [95] ne reconnaît pas non plus l'existence du syndrome amotivationnel en tant qu'entité clinique, avançant qu'il serait plutôt l'expression d'une "attitude philosophique", d'un déficit psychologique voire d'une simple asthénie physique. D'autres auteurs s'engagent dans cette voie [99].

On retiendra également l'apport de THOMAS [132], dans son article décrivant les modifications comportementales de 110 soldats américains consommant d'importantes quantités de cannabis (50 à 600 mg de haschich par mois pendant 3 à 12 mois). Il retient essentiellement des altérations cognitives : troubles de la mémoire, de la vigilance, de la concentration et du calcul mental ; des épisodes confusionnels parfois persistants ; un syndrome amotivationnel.

Le syndrome amotivationnel apparaît comme un diagnostic différentiel possible des évolutions schizophréniques déficitaires. L'inertie de la pensée est commune aux deux tableaux. Néanmoins, dans le cas du syndrome amotivationnel et contrairement aux schizophrénies déficitaires, il n'y a pas de troubles de la pensée, qui demeure cohérente, ni de discordance, ni d'éléments de nature autistique. Le consommateur de cannabis a pleinement conscience de l'état de passivité et du refus d'investissement qu'il présente. Par ailleurs, les modalités évolutives sont différentes puisque l'évolution schizophrénique déficitaire est en général une évolution terminale et non réversible, alors que nous avons vu plus haut que le syndrome amotivationnel pouvait s'amender à l'arrêt de l'intoxication.

3.1.2.3. Effets résiduels

Une intéressante étude américaine coordonnée par POPE [112], s'attache à rechercher l'existence d'effets résiduels du cannabis. Ces effets résiduels doivent être distingués des effets connus de l'intoxication aiguë, des traits de personnalité des consommateurs de grande quantité de cannabis, ainsi que des pathologies psychiatriques préexistantes qui peuvent être révélées ou aggravées par l'usage de cannabis.

Il apparaît que ces effets résiduels peuvent être différenciés en deux groupes : ceux qui sont dus à la persistance dans le système nerveux central du (9THC dans les heures et les jours suivants l'intoxication aiguë ("effets de résidu"), et ceux qui sont dus à un effet psychotrope rémanent du (9THC, même après élimination totale du principe actif ("altérations centrales").

Les auteurs proposent une revue de la littérature visant à démontrer l'existence, pour le cannabis, de ces deux types d'effets résiduels. Les études disponibles sont soit des études avec administration contrôlée de cannabis à des volontaires sains, soit des études naturalistes de cohortes de forts consommateurs chroniques de cannabis.

Les deux types d'études sont entachés de limites méthodologiques. Le premier, pour des raisons éthiques et techniques, ne peut être de durée longue, et évaluent plutôt l'existence des "effets de résidu". Le deuxième, qui pourrait évaluer les "altérations centrales", présente l'inconvénient de ne pas pouvoir contrôler la période d'abstinence avant les tests.

Les conclusions s'orientent vers l'existence d'un bref "effet de résidu" (12 à 24 heures) après la prise de cannabis. Celui-ci entraîne des altérations cognitives au niveau attentionnel, de la mémoire visuelle et verbale et des capacité visuomotrices. L'évaluation de ces altérations cognitives devrait pouvoir bénéficier d'un approfondissement (étude des composants cognitifs, par exemple organisation, encodage, stockage et décodage de l'information).

En ce qui concerne les "altérations centrales", aucune étude ne conclue de manière significative à leur existence : "il n'y a pour l'instant aucune preuve de l'existence d'anomalies cérébrales irréversibles causées par l'usage de cannabis" [23]. Le débat n'est pas clos en conclusion de cette revue, qui propose la mise en œuvre de nouvelles études, de méthodologie plus précise.

Ces effets psychotropes sont ceux que l'on peut attendre de manière "classique" lors de la consommation de cannabis. Avant de passer aux applications pathogènes, envisageons maintenant ce qu'il en est de la notion de toxicomanie au cannabis.


--------------------------------------------------------------------------------
source:http://www.anit.asso.fr/docs/cannabis/cannabis_31.php

site interressant et impartial d'apres mes lectures en diagonales....
Anonymous
 

Re: Cannabis et dependance

Messagepar Anonymous » 26 Mai 2004, 10:49

ce qu'il y a de bien dans cette arcticle c'est qu'ils parlent d'un facteur "quantité consomée" directement en relation avec les effets décrits.
Anonymous
 

Re: Cannabis et dependance

Messagepar Anonymous » 26 Mai 2004, 14:19

mouai, bin j'ai tendance à croire que les étudiants ont pas vraiment beoins du "pétard" pour tendre à la glande :wink: ....
Au passage, les quantités consommées me semble relativement fantésistes...Tout de même 1 demi kilo de hash/mois (prix de la sav', temps mis pour effriter tout ça, etc...).
Anonymous
 

Re: Cannabis et dependance

Messagepar Anonymous » 26 Mai 2004, 14:34

Petitgris a écrit:J'ai une étude américaine menée dans une université auprès d'étudiants où ce syndrome amotivationnel est contesté. Cette étude laisse notamment entendre que les fumeurs ne réussissent pas moins bien que leurs homologues 'sains'.
Quand bien même si cette relation existait, on pourrait légitimement se demander si le cannabis rend feignant où s’il attire simplement les feignasses… En un mot, est-il la cause ou l’un des effets ?



tiens,c'est tiré de l'arcticle :
"On le rencontre essentiellement dans les cas de consommation de grandes quantités de cannabis, durant un temps prolongé. Il s'améliore à l'arrêt de l'intoxication.

L'existence de cette entité clinique reste contestée. S'agit-il des conséquences physiques de l'intoxication ? Le cannabis serait-il seulement le révélateur d'un état préexistant ? "

;)



Saint nitzsky:

50g c'est relativement courant comme conso...ca a été la mienne pendant des années....


encore tiré de l'article :

"D'autres études [76] complètent la description des troubles cognitifs en démontrant l'existence chez les fumeurs chroniques de cannabis, de difficultés à établir un compromis,"


quand ont lis certains débats....on se demande...
ca vous interpelle pas plus que ca??????
Anonymous
 

Cannabis et dependance

Messagepar Anonymous » 26 Mai 2004, 15:21

dont 110 consommaient 50g de haschich par mois. C'est pour des doses de 50 à 600g de haschich par mois qu'apparaissent des troubles chroniques rassemblés sous le terme de syndrome amotivationnel et décrits comme apathie,

110 soldats américains consommant d'importantes quantités de cannabis (50 à 600 mg de haschich par mois pendant 3 à 12 mois).

C'est la différence d'unité de poids et le rapport de 1/1000 des unités incriminée qui me fait tiquer, en fait je trouve cet article super intéressant mais j'aurai aimé savoir avec certitude sur quel pied danser.
Le point soulevé par Petit-Gris et repris par St nitz sur le profil des "cobayes" prete aussi à caution....
Par rapport à mes expériences perso sur ma conso qui à énormément varié avec le temps, je tendrai à aller dans le sens de ce qui est écris ci dessus, mais je retrouve autant de causes à imputer au chanvre qu'au contexte social dans lequel je me trouvais à l'époque.
Cela dit, la simple conjugaison constaté des sentiments (ou ressentiments) et du THC montre, qu'au moins en phase "d'abattement" moral, la prise à gros volume de T.H.C peut avoir des conséquences assez dévastatrices, il n'est pas un facteur causal, mais bien un facteur amplificateur.....c'est du moins comme ça que je le ressents par rapport à mon modeste vécu, et si je prends la peine de'y regarder avec objectivité.
Je pourrai aussi par ces memes constatations mais dans des domaines plus particuliers me demander si se mettre en opposition avec le mode de vie promu actuellement est réellement à considerer comme une "déficience" ou plutot une affirmation de conviction dont l'apparente indolence tranche avec le surractivisme de rigueur actuellement. Difficile à defendre hors contexte, mais à ne pas négliger pour autant.
----------------------------------------------------------------------------------------------
Les étudiants...des fainéants.....vous deconnez les gars :lol: :lol: y en a qui bossent dur. D'autant plus dur qu'il n'y a aucune promesse de réussite dans le fait de s'investir....c'est meme à se demander si c'est pas pour nous faire comprendre qu'on peut semer sans récolter qu'il nous passe la famille Ingall's en boucle depuis 20 ans. :ptdr: :ptdr: :ptdr:
Anonymous
 

Cannabis et dependance

Messagepar Anonymous » 26 Mai 2004, 15:46

bah scarlat...ils disent "importantes quantités" ca se compte pas en mg...
c'est juste une faute de frappe ;)

Concernant le contexte et son influence maintenant,je suis assez d'accord si ce n'est que pour moi,le contexte est avant tout influant sur la consomation...

la question est a mon sens( et je viens de donner mon avis):
est-ce le contexte qui produit les effets néfaste ou le contexte qui amene à une plus grosse consomation et donc à une plus grosse réactivité des sujets?

étant entendu que je suis entièrement d'accord sur le fait que fumer quand on a une baisse de morale n'amene rien de bon...
Dernière édition par Anonymous le 26 Mai 2004, 15:58, édité 1 fois.
Anonymous
 

Cannabis et dependance

Messagepar Anonymous » 26 Mai 2004, 15:51

quand ont lis certains débats....on se demande...
ca vous interpelle pas plus que ca??????

si un peu...quand meme. :(
Mais c'est peut etre aussi en riposte aux nombreuses couleuvres qu'on se doit d'avaler régulièrement sans sourciller....Augmenté peut-etre par la frustration (insupportable chez le THCisé :wink: ) de ne pas arriver à se comprendre alors que, dans le fond, on dit souvent la meme chose.
Ne pas voir le regard de son interlocuteur prive la plupart de nos phrases de la partie émotionnelle qui les accompagnent, on s'attache alors plus à la forme qu'au fond et on se mange le groin avec d'autant plus de vigueur qu'on passe pas mal de temps dans la journée à comprimer cet envie aupres de gens que nous voyons de nos yeux nous mettre dans des sacs plus sale que nécessaire
N'empeche que quelque soit le sujet du forum, j'ai remarqué une belle tendances des internautes à se prendre le chou là ou il n'y a pas la place....ce qui me rassure, c'est que sur certain, je n'ai jamais posté, sinon, j'aurai fini par croire que c'était ma faute ..... :lol: :lol:
Anonymous
 

Cannabis et dependance

Messagepar Anonymous » 26 Mai 2004, 16:01

est-ce le contexte qui produit les effets néfaste ou le contexte qui amene à une plus grosse consomation et donc à une plus grosse réactivité des sujets?

Voila une question qu'elle est bonne, mais tant que fumer sera un délit sanctionnable, il sera dur d'étudier proprement la chose dans son ensemble....et sur une base commune de considération (comme dirait le Dr Spock)
Rien qu'a considérer le nombre d'interprétation possible au simple mot Haschich... :wink:
T'1 t'as raison, massive en Milligrammes, c'est pas tres scarlat, mais c'est presk charlyUMP :lol: :lol: Charly, si tu nous lit :wink:
Anonymous
 

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