Bon pour pas que tu t'énerves avec ton scan,Anonym@, voici le lien :
http://www.lanouvellegazette.be/
et un copié collé :
POLICIERS DROGUES
Des flics aussi accros au joint...
Stupéfiant : le Comité P constate que l'usage toléré du cannabis fait
des adeptes à la police !
Le pétard n'a rien de mouillé. Celui qui l'allume n'est autre que le très sérieux Comité P chargé de veiller à ce que nos policiers ne s'écartent pas du droit chemin.
Or, justement, il se fait que certains d'entre eux, de plus en plus nombreux, ont tendance à filer du mauvais coton. À succomber à la tentation de se taper un petit joint. En savourant au plaisir de la tolérance décrétée pour les adeptes majeurs du cannabis.
Le hic, c'est qu'ils sont aussi, et même surtout, flics. Et que le Comité P, qui ouvre l'œil et le bon, a flairé la chose. Dans son dernier rapport intermédiaire, il s'inquiète ouvertement de « la consommation croissante de stupéfiants tels que le cannabis ou la marijuana » dans les rangs de la police. 27 cas d'usage de stupéfiants (ajoutés à l'alcool) dénoncés depuis janvier de cette année, c'est déjà le double du bilan de l'année 2002. L'usage de drogues douces s'y taille la part du lion.
« Le phénomène, perceptible depuis deux ans, tend à s'amplifier parmi les jeunes policiers », confirme un membre du Comité P. Certains signes ne tromperaient pas quand le policier prend son service le matin…
Bel exemple…
C'est à la fois inquiétant car « un policier porte une arme de service ». Moralement interpellant car « un policier est là pour respecter et faire respecter la loi ». Et peu rassurant : « certains cas connus vont plus loin que le simple usage d'un joint. Il est aussi question de détention, de partage des substances, voire de déplacements aux Pays-Bas », poursuit le membre du Comité P. À moins que les quantités de cannabis saisies lors de contrôles policiers ne finissent pas nécessairement dans le caniveau…
Fâcheux estompement de la norme, favorisé par le climat de tolérance qui brouille manifestement aussi l'esprit des policiers.
Même les chefs de corps auraient tendance à trop fermer les yeux au goût du Comité P : « Les chefs de corps ne prennent pas position, arguant notamment que le policier concerné aurait effectué son service comme il se doit ou que la consommation de stupéfiants n'aurait rien à voir avec le service ». Les chiffres 2003 sont là : neuf sanctions pour faits d'ivresse ou d'intoxication alcoolique, une seule pour usage de stups…
Raison pour laquelle le Comité P recommande la clarté et suggère d'intégrer cet écart de conduite dans le code disciplinaire. Ce à quoi la police fédérale serait favorable.
Pour que le joint ne fasse pas un tabac au commissariat… P.HX
Ha oui, çà se passe en Be .
