Qui plus est, a-t-il poursuivi, la criminalisation du *cannabis* a des effets pervers dans la mesure où elle alimente les réseaux criminalisés. " Elle met les acheteurs en contact avec des milieux potentiellement criminogènes et ne permet pas un contrôle de la qualité du *cannabis* ", a également souligné le sénateur.
Aux médecins et policiers qui ont vertement dénoncé sa proposition, le sénateur Nolin répond : " Ce ne sont pas les policiers et les organisations professionnelles qui m'intéressent, mais la population. "
voilà une attitude qui mérite le respect pour nos amis cannadiens...
Eux ont bien compris les choses et ne se la jouent pas petit chien des amerloques.
"Assit! la france..." disait billhou dans son fauteuil...
Et chichi de lui donner la papatte.