Article ô combien complet, comme mentionné précédemment. Je suis content de voir que je ne m’y suis pas mal pris du tout, ça rassure…
Ça confirme bien ce que je pensais sur les breeders soit disant « intègres », qui basent leur réputation sur la fait d’avoir un catalogue restreint, afin de pouvoir se concentrer vraiment à fond dessus, pour au final, se lancer dans les féminisées à foison et ruiner définitivement le potentiel de leur variété, si bonnes fussent-elles à la base.
Le capitalisme à outrance, c’est mal !