Crême de manali

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Crême de manali

Messagepar MaxHouse » 09 Juil 2004, 04:35

j'me rapelle avoir deja pris de la crème de manali en Hollande...... le techi mis dans le pochon par le vendeur été impossible a récupérer, il avait littéralement collé au pochon 8O ... obligé d'arracher le pochon pour pouvoir fumé !!! :lol:

et de gratter au pochon les reste qui na jamais voulu se décrocher........ 8O

un truc de ouf j'vous dis.........
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Crême de manali

Messagepar Anonymous » 09 Juil 2004, 06:55

Scarlat y s' en fout lui du manali ce qu'il interesse c'est de se fumer le poil de cul .
t'en veux j'en ai des bons avec parfois aussi de la cream(qui je dois dire est tout ausi maléable et foncée) dessus mais ça bon c'est a toi de voire :mrgreen: :ptdr:
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Re: Crême de manali

Messagepar lee 'scratch' perry » 21 Jan 2013, 03:48

le qualificatif "cream" ne s'appliquerait pas plutot a Malana (Malana cream) ? a moins qu'il ne s'applique a toutes les varietés de H d'inde ?

en attendant voici un article du "courier international" , de quoi vous faire saliver en revant de Kullu, Manali, Malana et autres villages de l'Himachal Pradesh


"Une mini-Colombie au pied de l' Himalaya
Dans l'Etat indien de l'Himachal Pradesh, la mafia étrangère a pris le contrôle du commerce international de haschisch, en pleine expansion. Les autorités, alertées, surveillent de près les cartels, mais ont du mal à éradiquer le fléau.

OUTLOOK
New Delhi

Kullu et Manali, deux villes voisines nichées au pied de l'Himalaya, sont très recherchées par les touristes pour leur panorama époustouflant. Mais elles attirent également des personnes venant du monde entier pour une autre raison : le très bon cannabis qui y pousse. La région de Kullu-Manali est devenue aujourd'hui l'un des principaux centres de production du haschisch. Considérée comme la capitale mondiale de la marijuana, elle attire autant les trafiquants que les consommateurs.
Les routards, alléchés par la facilité avec laquelle on peut se procurer du haschisch et par son prix peu élevé, sont toujours venus en nombre à Manali, mais l'arrivée récente de la mafia étrangère dans la culture à grande échelle et l'exportation illégale est beaucoup plus inquiétante. La police, soucieuse de sévir, a transmis à Interpol les avis de recherche visant les trafiquants et cultivateurs étrangers les plus connus de Kullu-Manali , et les a diffusés dans les aéroports indiens. Les cartels de la drogue de Bombay et d'Europe sont actuellement sous étroite surveillance. Selon les autorités, près de trente gangs rivalisent pour avoir leur part du gâteau : l'un est dirigé par une Britannique, un autre par une Italienne mariée à un Indien et un troisième par un Français. Les autorités savent pertinemment que les étrangers ne peuvent pas opérer sans l'aide des caïds locaux. Certains cartels, qui ont des filières hors du pays, sont solidement implantés à Manali, Kasol, Banjar et Manikaran [localités proches]. La police n'a cependant pas réussi à identifier les cerveaux étrangers, qui opèrent en général de l'extérieur et font appel à des dealers. Selon N. Venugopal, commissaire de police de Kullu, "il y a énormément d'argent en jeu. Le lobby du haschisch a des relations étroites avec le monde politique, et les cerveaux parviennent toujours à s'en sortir. Mais je ne les laisserai pas transformer la région de Kullu-Manali en mini-Colombie." Les trafiquants étrangers n'ont pas de souci à se faire. Selon de hauts responsables du gouvernement de l'Etat, les Indiens louent à des planteurs étrangers des centaines de bighas pendant la saison (5 bighas = 1 hectare). Un bigha coûte entre 10 000 et 15 000 roupies [entre 212 et 318 euros] selon son emplacement. Les tarifs sont près de 20 % plus élevés dans les secteurs de Banjar et de Manikaran car la terre y est riche et les conditions climatiques favorables. En général, l'étranger emploie de la main-d'oeuvre locale et surveille le travail, mais les Népalais sont également mis à contribution : ils circulent dans les champs et recueillent la résine sur les feuilles et les bourgeons, et la roulent dans leurs mains pour en faire de petites boulettes. Les moissonneurs sont payés 700 roupies par jour et un bigha de terre produit environ 3 kg de haschisch, ce qui peut rapporter jusqu'à 400 000 roupies [8 470 euros] sur le marché international. "Jusqu'ici, nous avons détruit 120 000 bighas de plants de cannabis dans les secteurs de Sainj, Parvati et Kullu. Mais je pense qu'il en reste encore près de 120 000 bighas", déclare M. Venugopal, qui a entrepris il y a deux ans d'éliminer les trafiquants et de s'attaquer aux cartels. Cette vigoureuse opération antidrogue a eu quelques résultats, mais n'a pas mis un terme au trafic. Le haschisch se vend sous différents noms : Malana cream [lire l'article ci-contre], AK-47, Sunburst, Kali Mist, Choco-yesh, Skunk Balls, Shantibaba. On trouve tous ces produits dans les coffee-shops d'Amsterdam. L'AK-47 est une variété de haschisch hybride qui vient d'Afghanistan ; le Kali Mist vient du Kazakhstan. "Pour la culture, on fait appel à des techniques de pointe. On utilise la biotechnologie et des pesticides spéciaux pour augmenter la quantité de résine dans les plants" , explique un dealer local. Près de 26 000 étrangers se rendent dans la région de Kullu-Manali chaque année afin de se procurer un raccourci vers le Nirvana. La simple vue du cannabis qui pousse librement dans les vallées de Kullu, Manali et Parvati, et dans les vastes forêts, les fait planer. Le climat idéal de la région et son isolement géographique en font un repaire idéal pour le commerce de la drogue. Le trafic, en pleine expansion, produit près de 11 000 kg de haschisch par an et représente des milliards de dollars sur le marché international. Les prix des produits agricoles, comme la pomme, sont tombés si bas que le chanvre indien est un moyen rapide de gagner de l'argent. La police tient à préciser que tous les étrangers ne sont pas impliqués dans ce trafic. Les visiteurs se répartissent en trois catégories. La première catégorie comprend ceux qui viennent passer d'une semaine à dix jours et logent dans des hôtels de luxe. La deuxième catégorie regroupe ceux qui viennent pour les sports d'aventure, le trekking et qui ont des visas longue durée. Et la troisième comprend ceux qui sont activement impliqués dans le trafic de haschisch. M. Venugopal, qui fait partie des services de l'immigration pour la région, explique que les routards aussi sont surveillés. "Nous contrôlons de près leurs activités et l'argent qu'ils reçoivent de l'étranger." Parfois, ceux de la deuxième catégorie passent dans la troisième. Au fil des ans, nombre d'entre eux ont réussi à échapper aux filatures pour se réfugier dans les montagnes. Selon les responsables locaux, plus de 600 étrangers pourraient ainsi y vivre cachés, et la plupart d'entre eux ont des visas périmés. L'expansion du trafic de haschisch dans la région s'explique, entre autres raisons, par un taux de chômage élevé. D'après le propriétaire d'un restaurant de Manikaran, "il n'y a pas d'autres emplois. C'est une industrie familiale qui, depuis des décennies, implique des enjeux financiers tellement énormes que les habitants de la région sont obligés de continuer." Outre le trafic de haschisch, l'arrivée de nouvelles drogues illégales comme le LSD, la cocaïne et l'héroïne complique encore la tâche des policiers. "Ces drogues ont fait leur apparition récemment. De nombreux étrangers, notamment des Africains, les font entrer dans le pays et sortent du haschisch , explique un officier du renseignement. Et ce, avec un effet déplorable sur la société civile : de nombreux jeunes au chômage, voire des enfants, sont devenus dépendants." Et la police se retrouve largement dépassée devant les méthodes sophistiquées des gros trafiquants : cartouches d'encre remplies d'huile de cannabis, caramels et boîtes de conserve bourrées de haschisch à l'aide des presses pneumatiques. La marchandise sort du pays en bateau dans des bouteilles de jus de fruit et des pots de confiture, des boîtes de ghee [beurre clarifié] et des shivlings [statuettes]. Des cartons pleins de drogue sont cachés dans les camions qui transportent des pommes et des prunes durant la saison.
Le plus grand problème pour la police locale, c'est le manque d'effectifs : le service peut seulement répondre au quart des besoins. "Vous vous rendez compte ? Il y a seulement 324 agents pour l'ensemble du district. Nous n'avons que sept postes de police et nos moyens de communication sont très primaires" , confie un inspecteur. Le gouvernement n'a pas débloqué de fonds spéciaux pour le travail de renseignement. Le haschisch de l'Himachal Pradesh est sans aucun doute devenu une marque mondialement connue. La concurrence impitoyable, encouragée par les étrangers, a fait de cette industrie un mode de vie dans la région. Son élimination nécessiterait des efforts herculéens.



Aux sources de la merveilleuse "Malana cream"
Malana est un village reculé qui a ses propres lois et coutumes. Un endroit phare de la culture de haschisch.
Le village tribal de Malana, dans le district de Kullu [Etat de l'Hichamal Pradesh], est le foyer de la "Malana cream", le meilleur haschisch du monde. Cette année, il a été élu par les consommateurs "meilleur produit" du monde et a remporté la Cannabis Cup à Amsterdam. Inaccessible et lointain, ce village est souvent appelé la "République de Malana". Il est fortifié par des barrières naturelles de tous les côtés et précairement perché sur une haute chaîne de montagne. Pour y accéder, il faut marcher pendant huit heures sur un chemin étroit qui part de Jari, le plus proche village sur la route reliant Manikaran à Bhuntar. Bien qu'ils soient en conflit avec les autorités indiennes, les Malanais ont ouvert leur village aux cultivateurs étrangers de haschisch. Il y a plusieurs guest houses où logent les étrangers pendant l'année. Le haschisch cultivé ici atterrit dans les meilleurs coffee shops d'Amsterdam et passe dans les mains des consommateurs en Europe.
C'est une société très fermée où les étrangers ne sont pas les bienvenus. Personne ne peut y entrer s'il n'est pas invité. Le village a ses propres règles. En dehors des corps législatif et exécutif, la "République" a son propre système judiciaire. Les problèmes de propriété et de société, bien que rares, sont réglés suivant le culte du devta, la principale divinité du village. L'entrée d'un étranger doit avoir été approuvée par un conseil d'anciens. Le chemin qui traverse le village est entouré de pavés de pierre sacrée, et quiconque les touche doit s'acquitter d'une amende de 1 000 roupies [environ 20 euros]. Si vous touchez un villageois, vous devez offrir une oie. Les Malanais pratiquent une forme d'hindouisme ancien qui considère les étrangers comme des intouchables. Il est interdit aux personnes qui visitent le village d'entrer dans les temples et de porter ou transporter du cuir. Le dieu des Malanais, Jamlu, interdit l'utilisation du cuir.
Les gens de Malana n'ont aucune affinité socioculturelle, religieuse ou linguistique avec les autres tribus du district : les Bhoots de Lahaul et de la vallée de la Spiti, et les Kinners de Kinnaur. Les Malanais ne peuvent pas épouser d'étrangers et doivent se marier avec une personne qui appartient au même clan (il y en a quatre dans la tribu). L'hypothèse très répandue qui veut que les Malanais soient des descendants des soldats d'Alexandre le Grand qui l'auraient abandonné pendant l'invasion de l'Inde expliquerait le caractère unique de la tribu d'un point de vue anthropologique et socioculturel. Du fait de son inaccessibilité, Malana est un refuge sûr pour les cultivateurs. Selon le commissaire de police de Kullu, N. Venugopal, "Malana est perché sur une montagne à 3 000 mètres ; donc les villageois voient tous ceux qui s'approchent du village. C'est un gros désavantage qui complique nos opérations."
Outlook, New Delhi


Courrier International
26/09/2002, Numero 621 "
"I'm the angel Gabriel, who was sent from the heaven to collect all the money, all the cash, all the riches, all the nation wealth, and turn all the politicians and popes into skeleton whith my remington spacegun..."
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