date de culture en affrique du nord

La culture sous le soleil...

Modérateur: Aide-Modérateur

date de culture en affrique du nord

Messagepar Anonymous » 11 Jan 2006, 23:19

salut a vous

je me posai la question la periode de culture en affrique du nord c'est toujours mars a octobre ??? ou on peut recolté un peut avant a votre avis ???

autre question que ce passe t'il quand je juiellet/aout les temperature depasse 40 a l'ombre (je vous dit au en plein soleille )


d'avance merci pour vos lumieres
Anonymous
 

date de culture en affrique du nord

Messagepar homer » 12 Jan 2006, 00:46

que ce passe t'il quand je juiellet/aout les temperature depasse 40 a l'ombre (je vous dit au en plein soleille )

si la température est trop haute, les plantes vont se protéger c'est a dire que les pores sur les feuilles vont se refermer. Qui produira beaucoup moins de chlorophylle. :lol:
Avatar de l’utilisateur
19 années en tant que membre19 années en tant que membre19 années en tant que membre19 années en tant que membre19 années en tant que membre19 années en tant que membre19 années en tant que membre19 années en tant que membre19 années en tant que membre19 années en tant que membre19 années en tant que membre19 années en tant que membre19 années en tant que membre19 années en tant que membre19 années en tant que membre19 années en tant que membre19 années en tant que membre19 années en tant que membre19 années en tant que membre
homer
Intoxiqué au Forum
Intoxiqué au Forum
 
Messages: 452
Inscription: 03 Nov 2005, 17:22
Dernière visite: 02 Sep 2015, 21:23
Localisation: entre 4murs
Sexe: Non spécifié
Mode de culture:
intérieur terre, 2 lampes HPS 600w cooltube fait maison ,coco; gamme BIO-NOVA. extracteur 730 m² , ventilation, turbine 1000m3
Karma: 0

Re: date de culture en affrique du nord

Messagepar Anonymous » 16 Jan 2006, 15:27

homer a écrit:que ce passe t'il quand je juiellet/aout les temperature depasse 40 a l'ombre (je vous dit au en plein soleille )

si la température est trop haute, les plantes vont se protéger c'est a dire que les pores sur les feuilles vont se refermer. Qui produira beaucoup moins de chlorophylle. :lol:



hum sa d'accord , et la prod de thc ??? :)

et cinon en sere je peut cultivé en hiver je pensse non ???
Anonymous
 

date de culture en affrique du nord

Messagepar kimon » 16 Jan 2006, 17:44

Oui, tu peux envisager de faire une récolte en plein hiver si tu as pu pousser suffisament tes plantes en croissances à l'interieur ou sous la serre avec des lumières supplémentaires. Pour la période de culture par chez nous :wink: , les cultivateurs font parfois deux cultures: une de blé et une de cannabis sur la même parcelle, ils plantent donc parfois assez tard et les plus frileux où avides récoltent trés tôt (fin août!), pour les autres ça peut aller jusqu'à début octobre.
Bonne Culture
Avatar de l’utilisateur
22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre
kimon
Old Staff
Old Staff
 
Messages: 777
Inscription: 26 Juil 2002, 11:09
Dernière visite: 12 Oct 2017, 18:44
Localisation: Maroc
Sexe: Homme
Karma: 15

Re: date de culture en affrique du nord

Messagepar Anonymous » 16 Jan 2006, 19:17

Il me semblait que la récolte avait lieu fin juillet?

Cannabis: Ces plantations qui narguent les autorités!

http://www.leconomiste.com/article.html?a=64389
Edition électronique du 21/7/2005

Un repotage [sic !] d'Ali ABJIOU


· La superficie des champs ne cesse d'augmenter

· Tout au long des routes nationales

· Mais la sécheresse risque d'affecter la récolte

De grandes plantations s'étendent le long de la route allant de Chaouen
vers Bab Berred. Elles sont visibles à quelques mètres de la route
nationale.
Cette année, la sécheresse risque d'impacter sérieusement la récolte. Comme
on est affecté par la mauvaise campagne céréalière, dans le nord, on est
aussi déçu par la mauvaise performance de la culture du cannabis.
Le cannabis ou "chanvre indien" est une plante qui demande beaucoup d'eau.
Plus elle est irriguée, plus elle est mûre et précoce. Et elle arrive donc
plus tôt sur le marché. Ce qui génère des gains inestimables pour les
trafiquants.
Or cette année, les précipitations ont été assez faibles. D'où un manque
d'eau dans les régions montagneuses du Rif, du côté de Bab Berred. En
principe, c'est une plante que l'on sème et que l'on oublie. Même si le
cannabis est réputé pour sa capacité de résistance et le peu d'attention
qu'il nécessite, nombre d'agriculteurs ont dû cette année passer à
l'irrigation manuelle. Mais comme la plupart des terrains ne sont pas
préparés à la besogne, certains cultivateurs ont redoublé d'efforts et
mobilisé une armée d'irrigateurs. Bidons sur l'épaule, ces derniers
arrosent plante par plante. Cette opération coûteuse en main-d'¦uvre
s'explique par le fait que les agriculteurs veulent que les plantes
mûrissent vite pour commencer la commercialisation le plus tôt possible.
Selon un observateur à Chaouen, plus la plante est précoce, plus elle a des
chances d'être vendue rapidement. "C'est comme les primeurs",
explique-t-il.
D'autre part, avec les récentes opérations de destruction des plants dans
les champs, entreprises par les forces de l'ordre à Larache, les
agriculteurs ont tout intérêt à ramasser leur récolte le plus tôt possible.
Pas toute la récolte certes, mais au moins, celle visible. Cette année,
face à la faiblesse des précipitations, un nouveau phénomène est apparu,
celui de la dissémination des cultures. Pour éviter les effets de la
sécheresse, nombre d'agriculteurs ont préféré transformer le potager de
leur ferme en mini-plantation de cannabis.
Le phénomène est bien visible et un simple passage par la route menant vers
Bni Boufrah permet de réaliser l'ampleur du phénomène.
Certains agriculteurs, plus prévenants, cachent leur récolte en l'entourant
par un épais mur d'épis d'orge. D'autres, audacieux, arrosent leurs plantes
au vu et au su de tout le monde.
Ce mois de juillet correspond à la saison des moissons. Certains champs
sont déjà prêts. La couleur vert pâle renseigne sur la maturité de la
plante. Ayant atteint sa taille finale, soit près de 1,20 mètre à fin juin,
la plante change de couleur en moins de 15 jours. Elle sera prête pour fin
juillet.
Actuellement, le matin de bonne heure, des individus prennent place sur le
bord des routes. Ce sont des rabatteurs. Leur rôle est d'attirer les
acheteurs potentiels. Les cibles privilégiées sont les voitures
immatriculées en Europe. "hash! hash! vous voulez du hash?" lancent-ils aux
passants. Mais il ne faut pas se leurrer. En juillet, ces rabatteurs
n'offrent ni plus ni moins que la récolte de l'année dernière. Celle-ci n'a
plus la même qualité mais reste bien remontée et peut satisfaire "les
amateurs": Ceux à la recherche "des sensations fortes"Š

· "Vous voulez du hash?"

Quelques mètres plus loin, une demi-dizaine d'ouvriers, que l'on reconnaît
à leurs faucilles à la main, s'activent. Ils sont sûrement en route vers un
champ "mûr".
Une fois la récolte terminée, la deuxième opération démarre. La
transformation du cannabis se fait dans des greniers spéciaux. Le produit
final se décline en trois gammesŠ selon la bourse du client. La culture du
cannabis reste une activité illicite mais fortement industrialisée et les
investissements requis assez importants. Les terrains sont la plupart du
temps en jachère, loués à d'autres agriculteurs qui ne veulent ou ne
peuvent pas "se mouiller les mains".
Le montant de la location est variable et peut atteindre dans certains
endroits où le climat est favorable plus de 10.000 DH l'hectare, soit deux
à trois fois ce que peut rapporter une autre culture. "Le comble, rapporte
un agriculteur de la zone, c'est que le contrat de location précise bien
que le locataire n'a pas le droit de procéder à des cultures illégales".
Ensuite, il faut entretenir les champs, s'assurer une bonne aération des
sols, et les irriguer.
Mais en fin de parcours, le gain est important. Et c'est ce qui explique
pourquoi de très nombreux agriculteurs ne sont pas prêts à changer de
métiers de sitôt. Comment laisser tomber cette poule aux ¦ufs d'or?
Les vieux de la région racontent que pendant les années 70, les autorités
avaient voulu introduire une culture alternative. Comme en Colombie, c'est
la culture du café qui a été choisie. Les experts se sont présentés dans la
région de Chaouen et ont fait leurs essais.
Théoriquement, la culture du café était une alternative sérieuse au niveau
financier (avant la chute des prix mondiaux du café). Mais il restait à
vérifier si le climat est favorable. Les autochtones n'ont rien compris à
cette démarche de substitution. Au contraire, ils ont cru qu'on allait les
empêcher de gagner leur vie. Alors, ils ont décidé de réagir. Comment? ils
se sont levés de bonne heure le matin et sont allés arroser d'eau chaude
les jeunes plants de cafés plantés à titre d'essai. Au bout de quelques
jours, les plants de café moururent.
Les experts n'ont pas compris le stratagème. Il en ont conclu que le café
n'était pas adapté à la climatologie locale. Résultat: l'expérience tomba à
l'eau.
Selon un responsable local, le vrai problème reste la communication. Un
brin d'espoir a plané l'année dernière après la publication, pour la
première fois, d'une étude sur la culture du cannabis. Cela n'a pas empêché
les agriculteurs de cultiver et les trafiquants de s'engraisserŠ

Le trafiquant et le gendarme

Bon nombre d'observateurs estiment que la culture du cannabis commence à
affecter sérieusement la structure sociale des régions du nord. Les règles
familiales et l'échelle des valeurs sont en train de changer en raison de
la pratique de cette activité illégale. "Le comble, explique un commerçant
de la ville de Chaouen, est que les petits enfants dans la rue commencent à
jouer non pas au policier et au voleur mais au trafiquant et au gendarme".
Le cas est certes caricatural mais il est révélateur de la profonde
mutation des valeurs dans une société pauvre qui arrive difficilement à
résister à l'argent facile.





© 2001 L'économiste - Réalisation : Lnet Multimedia
Anonymous
 

Re: date de culture en affrique du nord

Messagepar Tsb » 16 Jan 2006, 21:44

les recoltes se font comme en europe, le seul probleme c'est que plus vite tu recoltes
plus tu es sûr de pouvoir vendre ta recolte. certains n'attendent donc pas la maturité pour recolter.

1er pret 1er servis.
Charsi cadena marci.

http://www.tikiseedbank.ch/
Avatar de l’utilisateur
22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre
Tsb
Fait partie des murs
Fait partie des murs
 
Messages: 2142
Images: 86
Âge: 58
Inscription: 07 Oct 2002, 12:20
Dernière visite: 19 Fév 2021, 12:56
Sexe: Homme
Karma: 571

date de culture en affrique du nord

Messagepar kimon » 16 Jan 2006, 23:32

A la mi-août à la rigueur pour la récolte mais avant ça je suis assez sceptique et convaincu que la récolte n'a généralement pas lieu avant Mi-Août pour le l'ouest du Rif (Ouazzane/Chefchaouen/Ketama et jusqu'à Fès vers le sud). Pour l'Est (Vers Nador) Je ne connais pas encore trop trop.
Du café ? et ils auraient fumer quoi eux alors... :wink:
N'oublions pas que dans le rif (surtout) la consommation de Cannabis est une tradition séculaire !
A+
Avatar de l’utilisateur
22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre22 années en tant que membre
kimon
Old Staff
Old Staff
 
Messages: 777
Inscription: 26 Juil 2002, 11:09
Dernière visite: 12 Oct 2017, 18:44
Localisation: Maroc
Sexe: Homme
Karma: 15

Re: date de culture en affrique du nord

Messagepar Anonymous » 21 Jan 2013, 04:01

kimon a écrit:A la mi-août à la rigueur pour la récolte mais avant ça je suis assez sceptique et convaincu que la récolte n'a généralement pas lieu avant Mi-Août pour le l'ouest du Rif (Ouazzane/Chefchaouen/Ketama et jusqu'à Fès vers le sud). Pour l'Est (Vers Nador) Je ne connais pas encore trop trop.
Du café ? et ils auraient fumer quoi eux alors... :wink:
N'oublions pas que dans le rif (surtout) la consommation de Cannabis est une tradition séculaire !
A+


oui et aussi d'en d'autre region d'affrique du nord , en tout cas avant que les occidento (nous en fait) ne met leut nez la dedan

en tout cas merci a vous pour les reponses

et en parlan de prohibition je vous invite touse a allé voir mon topic sur le fim refeer madness :)


http://www.lamainverte.org/forum/viewtopic.php?p=88872#88872
Anonymous
 


Retourner vers Extérieur, serre

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 5 invités

Copyright © La Main Verte • ORG, tous droits réservés.W3C XHTML 1.1  vW3C CSS 2.1 v