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Flics, cul et fumette
Posté:
15 Oct 2004, 16:30
par Anonymous
Les "tournantes", ce n'est pas réservé aux "jeunes de banlieue".
http://www.liberation.fr/page.php?Article=243892 «Affaire glauque» à la police
Par Patricia TOURANCHEAU
mercredi 06 octobre 2004 (Liberation - 06:00)
L'Inspection générale de la police nationale (IGPN) a placé hier en garde à vue sept policiers de la compagnie d'intervention de l'Essonne, dans le cadre d'une enquête sur des «pratiques sexuelles suspectes» au sein de leur groupe. Lors de soirées arrosées, un gardien de la paix aurait été contraint de se livrer à des fellations sur ses collègues et de subir des actes sexuels non consentis. «Une affaire glauque de cul et de fumette (de joints, ndlr)», résume un policier, «déshonorante pour la profession.» Selon le ministère de l'Intérieur, «si les faits dénoncés sont avérés, les auteurs seront sanctionnés avec la plus grande rigueur».
© libération
Re: Flics, cul et fumette
Posté:
15 Oct 2004, 17:03
par Tsb
ca vas encore etre la faute du chanvre.
Re: Flics, cul et fumette
Posté:
15 Oct 2004, 17:17
par Anonymous
Procès de Stéphane Krauth pour le meurtre de Karine Schaaf
STRASBOURG (Reuters) - Stéphane Krauth, 26 ans, sera jugé, à partir de vendredi par la cour d'assises de la Moselle à Metz pour l'enlèvement, la séquestration, le viol et la mort de Karine Schaaf, le 22 juillet 2001 à Bitche.
Le procès doit durer une semaine. Stéphane Krauth, qui est incarcéré depuis les faits, encourt la réclusion criminelle à perpétuité.
Il comparaîtra aux côtés de son ancienne compagne, Péroline Garino, 22 ans, dont il a une fille de 3 ans et demi et qui est poursuivie pour destruction de preuves.
L'affaire avait éclaté durant l'été 2001, provoquant une vive émotion bien au-delà de la région.
Karine Schaff, une lycéenne de 17 ans, avait disparu un dimanche après-midi à Bitche alors qu'elle était censée se rendre chez une amie. Seule sa bicyclette, accidentée, était retrouvée dans une zone d'activité.
Grâce à des témoignages, Stéphane Krauth, un Mulhousien dont les parents adoptifs demeurent à Bitche, était placé en garde à vue une semaine plus tard puis mis en examen par le juge d'instruction de Sarreguemines, Vincent Raffray.
Le jeune homme, sans emploi, a reconnu avoir heurté accidentellement la jeune fille alors qu'il circulait au volant de sa Mazda blanche.
Pris de panique, il l'aurait aspergée de gaz lacrymogène pour l'empêcher de mémoriser la plaque d'immatriculation, puis aurait voulu la conduire à l'hôpital avant de se raviser en constatant qu'elle ne respirait plus.
Il aurait alors décidé d'enterrer le corps dans la forêt de Mouterhouse, y retournant la nuit suivante avec Péroline pour l'asperger d'essence et y mettre le feu.
ALCOOL ET CANNABIS
Toujours selon ses déclarations, Stéphane Krauth avait bu cinq ou six litres de bière et consommé cinq grammes de cannabis pendant la nuit précédant les faits.
C'est finalement l'hypothèse d'un homicide volontaire précédé ou suivi d'un viol qui a été retenu par le juge d'instruction.
Celui-ci s'est appuyé sur des aveux que Stéphane Krauth aurait faits à sa compagne ou des déclarations à un ami selon lesquelles il voulait "carotter une fille".
Les experts de la gendarmerie ont estimé que Stéphane Krauth roulait à 30 ou 40 kilomètres/heure au moment de l'accident et non à 100-120 comme il le prétend.
Les experts médico-légaux n'ont relevé sur la victime aucune lésion des membres inférieurs, caractéristique d'un choc entre une voiture et un vélo, mais constaté que la jeune fille avait huit côtes cassées.
L'hypothèse du viol s'appuie quant à elle sur le fait que la partie inférieure du corps était dénudée et sur des déclarations de Krauth qui s'est "vu" avoir eu une relation sexuelle avec la jeune fille. Il s'est ensuite rétracté.
Aucune analyse ADN n'a en revanche pu étayer les faits en raison de l'état de décomposition du cadavre. Deux préservatifs trouvés à proximité ont gardé également leur secret.
L'un porte la seule trace de Stéphane Krauth, l'autre révèle en outre celle de sa compagne avec qui il aurait eu, sur place, une relation sexuelle.
Les jurés auront aussi à se pencher sur la personnalité de Stéphane Krauth, né de père inconnu et adopté à l'âge de quatre ans, que ses parents adoptifs, sans lui ôter leur soutien, décrivent comme menteur, violent, manipulateur voire "possédé".
Flics, cul et fumette
Posté:
15 Oct 2004, 17:56
par jack1
ben par chez moi c la mise en examen de 4 condés pour avoir séquestrés, torturés et violés une prostituée pendant plusieurs jours.
Affaire a suivre ds les cancans du coin, j'vous tiendrez au courant a savoir qu'il risquent d'être jugés aux assises, ce qui serait tout a fait normal dailleurs ...
Re: Flics, cul et fumette
Posté:
15 Oct 2004, 18:47
par Anonymous
«déshonorante pour la profession.»
Vraiment?
ben par chez moi c la mise en examen de 4 condés pour avoir séquestrés, torturés et violés une prostituée pendant plusieurs jours.
Houla!
T'as pas des sources pour étayer tes dires?
Flics, cul et fumette
Posté:
15 Oct 2004, 19:04
par jack1
si yen a mais fo ke jachete le journal demain sinon jvé voir sur le site online de la depeche du midi, mais le bleme c kil fo etre inscrit ...
Flics, cul et fumette
Posté:
15 Oct 2004, 19:20
par jack1
ben là jvien de mater le site online ya tchi sur "l'affaire", demain j'irai acheter le journal:)
Re: Flics, cul et fumette
Posté:
16 Oct 2004, 14:30
par daniel
La il s'agit d'enfumage toxique
Police républicaine ?
Un rapport officiel épingle la «perversité» d'une descente
Le 1er janvier, une intervention violente dans un bar parisien s'était soldée par la mort d'un homme.
Par Patricia TOURANCHEAU
jeudi 14 octobre 2004 (Liberation - 06:00)
Le réveillon privé d'une famille kabyle au Café de la poste, rue de Clignancourt à Paris (XVIIIe), avait tourné au vinaigre avec le commissariat d'en face et des renforts de police qui, le 1er janvier 2004 vers 3 h 30, ont projeté sans discernement du gaz lacrymogène dans ce lieu clos. Les fêtards, y compris les femmes et les enfants, ont été piégés à l'intérieur du bistrot au rideau de fer baissé et à l'air devenu irrespirable. Invité par le patron, un artiste peintre suédois de 61 ans au coeur fragile n'en a pas réchappé (Libération du 28 janvier).
Le limonadier a dénoncé, le 6 janvier, la bavure à l'inspection générale des services (IGS). Saisie de «cet incident grave» par le député et adjoint au maire de Paris Christophe Caresche (PS), la Commission nationale de déontologie de la sécurité, présidée par Pierre Truche, vient de rendre ses conclusions d'enquête. Elles sont extrêmement critiques à l'égard des policiers intervenants mais aussi, ce qui est bien plus rare, à propos des investigations de l'IGS.
Le rapport tient pour «établi qu'un ou plusieurs fonctionnaires de police se sont livrés à une agression» au gaz sur des gens pacifiques, étrangers à l'algarade qui eut lieu dans la rue, et souligne «la perversité de cet acte commis de nuit». Les gardiens de la paix ont profité de l'entrée au café d'une mère avec son bébé pour lancer les produits incapacitants à l'intérieur, puis ont «maintenu la porte fermée pour empêcher les personnes présentes de sortir». Le rapporteur déplore que les policiers n'aient «pas porté secours aux personnes incommodées», ni appelé les pompiers.
Il épingle sévèrement J.L.N., capitaine de police de la BAC (brigade anticriminalité) du XVIIIe, le plus gradé sur les lieux, qui a «pour le moins, été témoin direct de cet acte illégal de violence» mais n'en a pas informé le procureur, ni sa hiérarchie, et n'a pas mentionné aussitôt sur le registre deux interpellations.
Il dénonce l'omerta qui paraît régner dans les rangs puisque ce capitaine J.L.N. et le lieutenant O.D. n'ont communiqué à l'IGS «aucun renseignement de nature à permettre d'identifier l'auteur» de la projection de gaz. De plus, le «caractère clandestin» de cet usage de lacrymogène «se perpétue à ce jour», puisque l'IGS n'a «effectué aucune recherche» de l'unité de police qui avait cette bombe «attribuée en dotation» et n'a pas «identifié le fonctionnaire qui l'a utilisée». Selon la commission, l'enquêteur de l'IGS «a fait siennes les déclarations des fonctionnaires de police», a accordé peu de crédit aux «allégations» des plaignants et s'est contenté de conclure que «la responsabilité du gazage à l'intérieur du bar n'a pu être déterminée». La commission observe que «la violence dont a été victime [le Suédois décédé] n'a pu qu'aggraver le risque auquel il était exposé».
Pierre Truche a transmis son rapport au procureur de Paris, en soulignant sa «compétence en matière de violences dans un contexte d'agression à caractère raciste».
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Re: Flics, cul et fumette
Posté:
19 Oct 2004, 11:36
par daniel
La beuverie au commissariat se solde par un mort
A Nantes, un brigadier-chef a tué un collègue avec l'arme de ce dernier.
Par LA CASINIERE Nicolas DE
mardi 19 octobre 2004 (Liberation - 06:00)
Nantes correspondance
Il n'y avait qu'une seule balle dans le barillet du Manhurin et trop d'alcool dans le sang. Un gardien de la paix de 34 ans a été tué par sa propre arme de service, tenue par un de ses collègues, un brigadier-chef de 46 ans qui a reconnu son geste lors de sa garde à vue. Il a été mis en examen hier pour «violence avec arme ayant entraîné la mort sans intention de la donner», l'intention d'homicide n'est pas retenue, mais ce crime est quand même passible des assises. «Une qualification susceptible d'évoluer», a commenté le procureur Jean-Marie Huet.
«Chiche !» C'était samedi soir à Nantes. Les policiers de la compagnie départementale d'intervention étaient de service au stade de La Beaujoire, où Nantes a battu le PSG. De retour au commissariat central, ils sont six dans une petite salle de repos de 20 m2. En tenue mais hors service, ils boivent. De la bière, du vin. Contrairement à la version officielle, certains collègues concèdent qu'entre la victime et le brigadier-chef, les relations n'étaient pas des meilleures. Et qu'ils étaient plutôt du genre provocateurs, fiers à bras. Un collègue, passant à ce moment-là dans le couloir, aurait juste entendu : «Chiche !» L'alcool aidant, se sont-ils lancé un défi de virilité, genre roulette russe ? «C'est un des multiples bruits», reconnaît anonymement un policier du commissariat. Le procureur précise : «La victime, qui avait indiqué dans la soirée que cinq des six cartouches avaient été ôtées, a tiré plusieurs fois en percutant à vide, avant que son collègue se saisisse de l'arme et tire. L'instruction doit établir s'il avait conscience ou non qu'il subsistait une cartouche...» La balle a atteint la victime près de la bouche et traversé la tête. L'homme est mort très rapidement.
Pour se soustraire à un relevé d'empreintes et à un test à la parafine qui aurait constaté des traces de poudre sur ses doigts, l'auteur du coup de feu se serait renversé une tasse de café sur la main. «Cet élément est contesté», note le procureur. L'alcoolémie de tous les participants à la soirée est largement positive. «Au-dessus de 1,8 gramme par litre de sang», dit seulement le parquet. Mais entre les témoins et l'auteur du tir, les déclarations ne concordent pas : «Dans le contexte de bruits, de musique, de discussions fortes et de bouteilles cassées, certains ont pu ne pas entendre l'arme percuter à vide.»
Gêne. L'Inspection générale de la police nationale a été saisie. Premier point à éclaircir : l'arme de service aurait dû être déchargée, et mise sous clé. Sur place, les usages semblent un peu flous. «On reste policier 24 heures sur 24. On peut garder l'arme avec nous. Ce n'est pas anormal», dit l'un. «Les gendarmes ont un râtelier, pas nous policiers, qui sommes responsables de notre armement individuel. Chacun fait comme il le souhaite», dit Olivier Tonnerre, secrétaire du syndicat Alliance. Comme ses collègues, il se montre extrêmement gêné pour commenter le dérapage et son contexte : «Avec une arme, le passage à l'acte est plus facile que pour un maçon qui ne va pas se tuer à coups de truelle. Quant à l'alcool, c'est clair que Ricard et whisky sont interdits. Ici à Nantes, la chasse à l'alcool a été faite. On est en présence d'actes individuels. C'est la consternation.»
Déjà en mars 1999, à la suite d'une plainte pour violence policière dans le même commissariat, le procureur avait fait une perquisition sur place et découvert de l'alcool en quantité dans les bureaux. Les «bars» internes au commissariat ont alors été officiellement fermés et interdits, restreints aux salles de repos. Lors d'un conflit dans son service, un policier de la brigade motocycliste a aussi évoqué l'usage abusif des sirènes et gyrophares pour se frayer un chemin dans la circulation et rentrer plus vite à l'heure de l'apéro au même commissariat central.
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Re: Flics, cul et fumette
Posté:
19 Oct 2004, 18:51
par Anonymous
Décidemment,ces journalistes de Libé font tout pour chercher des poux à nos braves gardiens de la paix...
Flics, cul et fumette
Posté:
19 Oct 2004, 19:56
par jack1
nos bravex gardiens de la paix!!!!
hahahahah keski fo pa entendre!!!
fuck the police !!!
Flics, cul et fumette
Posté:
19 Oct 2004, 20:03
par jack1
devraient tous jouer à la roulette russe ces gros cons ...
Pi c'est le style de condés qui te fait souffler au ballon après une bonne bourre au calibre.
Lamentable
Re: Flics, cul et fumette
Posté:
19 Oct 2004, 23:03
par Anonymous
jack1,après un bedo de trop, a écrit:nos bravex gardiens de la paix!!!!
hahahahah keski fo pa entendre!!!
fuck the police !!!
[...]
devraient tous jouer à la roulette russe ces gros cons ...
Pi c'est le style de condés qui te fait souffler au ballon après une bonne bourre au calibre.
Lamentable
Et bien,je n'aurais pas imaginé qu'on puisse le prendre au 1er degré!!
Réduis un peu la jack parce que là..
Flics, cul et fumette
Posté:
20 Oct 2004, 08:34
par jack1
Flics, cul et fumette
Posté:
20 Oct 2004, 11:09
par Anonymous
GRANDE OPERATION...UNE CAISSE DE SKY POUR CHAQUE COMMISSARIAT