extrait du site de la MILT:
« Un ado à la maison, c'est grave docteur ? » titre la Vie qui, parmi les comportements qui « désarçonnent » les parents, évoque la consommation de cannabis.
Le journal qui rappelle que 40,4% des 12-25 ans ont expérimenté le cannabis, précise que neuf jeunes sur dix fument « par convivialité » mais qu'il existe un risque sur dix pour que l'adolescent fume « pour oublier ses problèmes » ce qu'il qualifie de « conduite de fuite assimilable à de la toxicomanie ». Assurant que « le risque d'escalade existe car arrivera un jour où le cannabis ne parviendra plus à l'aider et (où) il passera à autre chose », l'hebdo lance cet avertissement « Il ne faut pas attendre qu'il prenne de l'héroïne pour réagir ».
Conseils du magazine aux parents : demander « sans colère » au jeune pourquoi il fume, lui dire les dangers qu'il court (démotivation), lui rappeler que le produit est illicite et qu'il peut être arrêté par la police. Si le jeune fume du cannabis pour échapper à ses soucis, il faut lui proposer de parler à quelqu'un en qui il a confiance (médecin de famille, psychologue, travailleur social, parrain).
je serais tenté de dire: des journalistes, à la solde de fanatiques de droite, qui racontent les mêmes mensonges depuis 30 ans pour complaire au mouvement prohibitioniste majoritaire , c'est grave docteur ?