il est bon mon gateau:D
Posté: 03 Juin 2004, 15:48
Un lycéen français offre du gâteau au cannabis à son professeur
[jeudi 03 juin 2004 - 16h10 heure de Paris]
MEAUX (AFP) - Un lycéen a été mis en examen pour avoir offert à son professeur d'allemand et à quelques élèves de son établissement de Mitry-Mory (Seine-et-Marne) un cake au cannabis qu'il avait confectionné lui-même.
La professeur d'allemand et l'un des élèves du lycée Honoré de Balzac qui avaient dégusté vendredi dernier ce gâteau baptisé "space cake" sans s'inquièter de sa composition, ont été légèrement intoxiqués et brièvement hospitalisés. Le proviseur adjoint du lycée avait porté plainte samedi.
Agé de 17 ans, le lycéen était un consommateur occasionnel, selo une source de la police. Il a été placé en garde à vue mercredi. Un juge des enfants du tribunal de Meaux l'a mis en examen jeudi matin pour "administration de substances nuisibles", une infraction passible dans ce cas précis de trois ans d'emprisonnement, selon la même source. Il ne fait pas l'objet d'une mesure de privation de liberté.
Un expert sera désigné dans le cadre d'une commission rogatoire pour estimer la dose exacte de cannabis ingurgitée par les victimes.
[jeudi 03 juin 2004 - 16h10 heure de Paris]
MEAUX (AFP) - Un lycéen a été mis en examen pour avoir offert à son professeur d'allemand et à quelques élèves de son établissement de Mitry-Mory (Seine-et-Marne) un cake au cannabis qu'il avait confectionné lui-même.
La professeur d'allemand et l'un des élèves du lycée Honoré de Balzac qui avaient dégusté vendredi dernier ce gâteau baptisé "space cake" sans s'inquièter de sa composition, ont été légèrement intoxiqués et brièvement hospitalisés. Le proviseur adjoint du lycée avait porté plainte samedi.
Agé de 17 ans, le lycéen était un consommateur occasionnel, selo une source de la police. Il a été placé en garde à vue mercredi. Un juge des enfants du tribunal de Meaux l'a mis en examen jeudi matin pour "administration de substances nuisibles", une infraction passible dans ce cas précis de trois ans d'emprisonnement, selon la même source. Il ne fait pas l'objet d'une mesure de privation de liberté.
Un expert sera désigné dans le cadre d'une commission rogatoire pour estimer la dose exacte de cannabis ingurgitée par les victimes.