Alcool et carrière
Dans sa rubrique décryptage, France soir explique que selon une étude anglaise « les employés habitués à boire un verre avec leurs collègues après le travail ont plus de chances d'être promus et mieux payés ». Ils gagnent en moyenne 17% de plus que leurs collègues abstinents. Assurant que selon l'étude ces verres de bières ou de vin partagés « aident à créer un climat de confiance » entre collègues et « permettent aux employés de nouer avec leurs supérieurs (…) des liens utiles », le quotidien précise que les gros buveurs (12 litres d'alcool par semaine pour les hommes et 9 litres pour les femmes) gagnent toutefois « en moyenne 6% de moins que leurs collègues plus modérés » mais 5% de plus que ceux qui ne vont jamais au pub.
René Le Pape (président de la Confédération des débitants de tabac.) estime qu'avec la hausse des prix du tabac et la loi sur la vente aux mineurs «les marchés parallèles (…) continueront à se développer » car « les trafics de fourmis (…) pénètrent de plus en plus dans le pays ». Et il interroge « pourquoi vendre de la drogue alors qu'il est moins risqué et bientôt aussi rentable de vendre du tabac de contrebande ? ».
Peut être parce que tout le monde ne fume pas que du tabac? Au passage si vous croisez René dîtes-lui qu'il est président d'une des plus grande confédération de vendeur de drogue.
DROITS DE L'HOMME
Saad Ben Ateq Al-Harbi, Saoudien, reconnu coupable de meurtre, Idriss Ben Adam Ben Ali, Soudanais, et Abdallah Ben Yahia Mohamed, Tchadien, condamnés pour avoir « introduit des comprimés hallucinogènes » en Arabie Saoudite, ont été exécutés hier au sabre à Al-Isha et à Djeddah (Arabie Saoudite). Dans ce pays 48 personnes ont été décapitées en 2002. (AFP)
