article d'intéret
Posté: 10 Déc 2003, 21:52
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Posté: 10 Déc 2003, 23:48merci
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Posté: 11 Déc 2003, 00:22mais c'est qu'ils vont nous pourrir nos super hybrides F1 avec leur cannabis sans thc ! 'foirés 
Intéressant tout de même aussi pour nous, bientôt on ne fera pousser que des trichromes a 100% de thc... lol
Intéressant tout de même aussi pour nous, bientôt on ne fera pousser que des trichromes a 100% de thc... lol
Posté: 11 Déc 2003, 09:21Mon anglais étant un peu rouillé (et je dois pas être le seul !), une synthése de cet article dans la langue de Molière serait la bienvenue !!!
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Posté: 11 Déc 2003, 09:30à quand de bonne grosses laitues avec le génes du THC, imaginez le rendement 
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Posté: 11 Déc 2003, 11:34voilà pour zen et les anglophobes, c'est une traduction d'un robot donc a vous de réparer les erreurs de language du robot. Ca donne au moins une idée en francais de ce qui est dit.
http://www.reverso.fr/url/frame.asp?aut ... 9&x=40&y=4
http://www.reverso.fr/url/frame.asp?aut ... 9&x=40&y=4
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Posté: 21 Jan 2013, 03:35Traduction de la conclusion et de la légende du diagramme 2. Pas le temps de faire plus...
1. Le THC s'est accumulé en abondance dans la cavité de sécrétion où il était associé à a) la paroi des cellules, b) la surface des vésicules de sécrétion, c) le matériel fibreux libéré par la paroi de la cellule du disque, et d) la cuticule. Il n'était pas associé au contenu des vésicules de sécrétion. L'association du THC avec des composants structurels, particulièrement la paroi, la matrice fibreuse et la surface des vésicules suggère qu'il pourrait leur être lié plutôt que libre dans la cavité. Si le THC et les autres cannabinoïdes sont liés aux composants de la cavité, leur présence et leurs mouvements peut nécessiter une source d'énergie dans la cavité. Des études supplémentaires sont nécessaires pour déterminer s'ils sont libres ou non.
[voir le diagramme 2. Légende : représentation d'une glande sécrétrice mûre. Les cellules du disque, attachées à la feuille ou à la bractée par des cellules du pédicelle et des cellules basales (sous le stype) libère la matrice fibreuse de la paroi dans la cavité sécrétoire où elle contribue à l'épaississement de la paroi subcuticulaire. Les plastides dans les cellules du disque produisent des sécrétions qui s'accumulent à l'extérieur de la membrane plasmique, passent la paroi cellulaire et forment les vésicules de sécrétion dans la cavité. Les vésicules en contact avec la paroi subcuticulaire libèrent leur contenu pour contribuer à la croissance de la cuticule pendant l'agrandissement de la cavité. Le THC est présent dans les parois, la matrice fibreuse et le reste des matériaux entourant les vésicules, mais pas dans les vésicules. Peu de THC se retrouve dans les cellules du disque : P = plastides, L=vésicules de sécrétion, V=vacuole, ER=réticulum endoplasmique, noyaux en noir]
2. Peu ou pas de THC a été détecté dans le cytoplasme des cellules du disque. Cela suggère que les précurseurs (terpène et phénol), qui doivent arriver dans les cellules du disque à un certain intervalle [de temps ?], doivent former des cannabinoïdes à la surface de la membrane plasmique, ou dans la paroi cellulaire faisant face à la cavité sécrétoire.
3. Un peu de THC était présent dans les parois des autres cellules. Les gènes permettant la synthèse des cannabinoïdes sont présents dans toutes les cellules de la plante, mais les tissus autres que les glandes ne produisent que de faibles quantités de ces composés.
4. La réduction ou élimination des glandes par mutation réduira de manière significative la quantité de THC dans la plante. Cependant, La voie [métabolique] de la synthèse des cannabinoïdes est contrôlée génétiquement : des glandes sont spécialisées dans la synthèse de hauts niveaux de cannabinoïdes. Par conséquent, on peut penser qu'une plante sans glandes synthétisera des quantités très faibles de cannabinoïdes. Nous ne connaissons pas les rôles des cannabinoïdes dans les glandes. Ils sont peut être impliqués d'une certaine manière dans la "protection", ou un autre rôle. L'absence de glandes peut ou non altérer cette fonction. Comme les autres cellules synthétisent aussi ces composés, en petites quantités, cette quantité serait peut-être suffisante pour accomplir ce rôle fonctionnel. Un mutant sans glandes servirait donc l'objectif de réduire la concentration en THC pour une utilisation dans l'industrie du chanvre à fibres.
1. Le THC s'est accumulé en abondance dans la cavité de sécrétion où il était associé à a) la paroi des cellules, b) la surface des vésicules de sécrétion, c) le matériel fibreux libéré par la paroi de la cellule du disque, et d) la cuticule. Il n'était pas associé au contenu des vésicules de sécrétion. L'association du THC avec des composants structurels, particulièrement la paroi, la matrice fibreuse et la surface des vésicules suggère qu'il pourrait leur être lié plutôt que libre dans la cavité. Si le THC et les autres cannabinoïdes sont liés aux composants de la cavité, leur présence et leurs mouvements peut nécessiter une source d'énergie dans la cavité. Des études supplémentaires sont nécessaires pour déterminer s'ils sont libres ou non.
[voir le diagramme 2. Légende : représentation d'une glande sécrétrice mûre. Les cellules du disque, attachées à la feuille ou à la bractée par des cellules du pédicelle et des cellules basales (sous le stype) libère la matrice fibreuse de la paroi dans la cavité sécrétoire où elle contribue à l'épaississement de la paroi subcuticulaire. Les plastides dans les cellules du disque produisent des sécrétions qui s'accumulent à l'extérieur de la membrane plasmique, passent la paroi cellulaire et forment les vésicules de sécrétion dans la cavité. Les vésicules en contact avec la paroi subcuticulaire libèrent leur contenu pour contribuer à la croissance de la cuticule pendant l'agrandissement de la cavité. Le THC est présent dans les parois, la matrice fibreuse et le reste des matériaux entourant les vésicules, mais pas dans les vésicules. Peu de THC se retrouve dans les cellules du disque : P = plastides, L=vésicules de sécrétion, V=vacuole, ER=réticulum endoplasmique, noyaux en noir]
2. Peu ou pas de THC a été détecté dans le cytoplasme des cellules du disque. Cela suggère que les précurseurs (terpène et phénol), qui doivent arriver dans les cellules du disque à un certain intervalle [de temps ?], doivent former des cannabinoïdes à la surface de la membrane plasmique, ou dans la paroi cellulaire faisant face à la cavité sécrétoire.
3. Un peu de THC était présent dans les parois des autres cellules. Les gènes permettant la synthèse des cannabinoïdes sont présents dans toutes les cellules de la plante, mais les tissus autres que les glandes ne produisent que de faibles quantités de ces composés.
4. La réduction ou élimination des glandes par mutation réduira de manière significative la quantité de THC dans la plante. Cependant, La voie [métabolique] de la synthèse des cannabinoïdes est contrôlée génétiquement : des glandes sont spécialisées dans la synthèse de hauts niveaux de cannabinoïdes. Par conséquent, on peut penser qu'une plante sans glandes synthétisera des quantités très faibles de cannabinoïdes. Nous ne connaissons pas les rôles des cannabinoïdes dans les glandes. Ils sont peut être impliqués d'une certaine manière dans la "protection", ou un autre rôle. L'absence de glandes peut ou non altérer cette fonction. Comme les autres cellules synthétisent aussi ces composés, en petites quantités, cette quantité serait peut-être suffisante pour accomplir ce rôle fonctionnel. Un mutant sans glandes servirait donc l'objectif de réduire la concentration en THC pour une utilisation dans l'industrie du chanvre à fibres.