CO2 et effet de serre
La publication de Gerlich et Tscheuschner, qui sont tous les deux des physiciens théoriciens, enseignants et chercheurs expérimentés, concerne donc la physique sous-jacente au fameux effet de serre qui, nous dit-on, résulterait du CO2 naturel auquel s'ajoute celui que l'homme s'ingénie à propulser dans notre atmosphère. Cet "effet de serre" comme l'on dit (et l'on verra ci-dessous que cette appellation est inadaptée), serait, dit-on toujours, le grand responsable de l'élévation de température ( +0,7°C en 100 ans) que nous connaissons actuellement
En effet, l'article de Gehrard Gerlich et Ralf. D. Tscheuschner, soi-disant impubliable, vient d'être accepté et publié en tant qu'article de Review (ce qui est prestigieux), dans une collection qui figure au top des publications des physiciens : L'International Journal of Modern Physics qui relève de World Scientific. Cette revue a publié les travaux de nombreux prix Nobel de physique.
Source http://www.worldscinet.com:80/cgi-bin/d ... 3&type=toc
FALSIFICATION OF THE ATMOSPHERIC CO2 GREENHOUSE EFFECTS WITHIN THE FRAME OF PHYSICS
http://www.worldscinet.com/cgi-bin/deta ... 3&type=toc
Original
Falsification of the atmospheric CO2 greenhouse effects within the frame of physics
Gerhard Gerlich
Ralf D. Tscheuschner
The atmospheric greenhouse effect, an idea that many authors trace back to the traditional works of Fourier (1824), Tyndall (1861), and Arrhenius (1896), and which is still supported in global climatology, essentially describes a fictitious mechanism, in which a planetary atmosphere acts as a heat pump driven by an environment that is radiatively interacting with but radiatively equilibrated to the atmospheric system. According to the second law of thermodynamics, such a planetary machine can never exist. Nevertheless, in almost all texts of global climatology and in a widespread secondary literature, it is taken for granted that such a mechanism is real and stands on a firm scientific foundation. In this paper, the popular conjecture is analyzed and the underlying physical principles are clarified. By showing that (a) there are no common physical laws between the warming phenomenon in glass houses and the fictitious atmospheric greenhouse effects, (b) there are no calculations to determine an average surface temperature of a planet, (c) the frequently mentioned difference of 33° is a meaningless number calculated wrongly, (d) the formulas of cavity radiation are used inappropriately, (e) the assumption of a radiative balance is unphysical, (f) thermal conductivity and friction must not be set to zero, the atmospheric greenhouse conjecture is falsified.
Traduction
Réfutation des effets de serre du CO2 atmosphérique dans le cadre de la physique
L’effet de serre dans l’atmosphère, une idée que beaucoup d’auteurs font remonter aux travaux anciens de Fourier (1824), Tyndall (1861), et Arrhénius (1896), et qui est toujours admise en climatologie globale, décrit pour l’essentiel un mécanisme fictif dans lequel une atmosphère planétaire se comporte comme une pompe à chaleur menée par un environnement avec lequel elle est en interaction radiative tout en étant en équilibre radiatif avec le système atmosphérique. Selon la deuxième loi de la thermodynamique une telle machine planétaire ne peut jamais exister. Néanmoins, dans presque tous les textes de la climatologie mondiale et dans une vaste littérature secondaire, il est admis que ce mécanisme est bien réel et repose sur une base scientifique solide. Dans ce document, la conjecture à la mode est analysée et les principes de base de sa physique sont clarifiés.
En montrant que
(a) il n’existe pas de lois physiques communes au phénomène de réchauffement dans des maisons de verre et aux effets de serre atmosphériques fictifs;
(b) il n’existe pas de calcul qui détermine une température moyenne de la surface d’une planète;
(c) la différence de 33 ° C souvent mentionnée est un nombre sans signification calculé de manière erronée;
(d) les formules de rayonnement des cavités sont utilisées de façon inappropriée;
(e) la supposition d’un bilan radiatif est étrangère à la physique;
(f) la conductivité thermique et les frottements ne doivent pas être mis à zéro,
la conjecture de la serre atmosphérique est réfutée.
la prépublication en 89 pages du papier de Gerlich et Tscheuschner dans International Journal of Modern Physics
http://arxiv.org/PS_cache/arxiv/pdf/070 ... 1161v3.pdf